Une étudiante de Sciences Po Rennes nous propose un portrait du juge espagnol Baltasar Garzón, dont la notoriété n’est plus à établir en Espagne mais dont le nom nous est peu familier de l’autre côté des Pyrénées. Ce portrait nous invite à réfléchir sur la marge de liberté du juge dans son action face à la loi dans nos démocraties occidentales.
L’année 2010 a été véritablement marquée par une crise sociétale, impulsée par la mise en accusation de la rock star de la justice espagnole, le juge de l’Audience Nationale, le dénommé Baltasar Garzón. La polémique est lancée dès le mois d’avril avec la décision du Tribunal suprême de le traduire en justice pour prévarication.
L’Espagne est une démocratie, non? Et en démocratie, on respecte la loi ou on la change, aussi simple que ça…